Les chambres de bonne constituent un marché atypique
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A Paris, des arrondissements huppés peuvent afficher des tarifs relativement faibles, alors que d'autres, moins cotés, proposent des prix élevés. En parallèle, le nombre de ventes ne cesse de baisser . Paris recelait encore, à la fin de l'année 2002, 105 000 chambres dites de bonne ou de service, selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur). Les trois quarts d'entre elles ne sont pas détenues par des sociétés, mais directement par des personnes physiques...
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