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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 02:22:45
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Bonjour à tous le monde, pourriez vous éclairer ma lanterne ?
Voilà, je vous présente un cas classique : Un couple se sépare (sniff), tous deux colocataires d'un appartement, l'un quitte le domicile en résiliant le bail, jusqu'à maintenant, c'est pas trop compliqué. L'agence immobilière stipule au colocataire restant qu'il doit quitter le domicile dans la mesure ou l'autre a résilié le contrat. Moi même, néophyte en la matière, je trouve ça aberrant à partir du moment, où les deux ont signé le contrat et qu'en outre ils étaient concubins notoires depuis plus d'un an (enfants à charge etc...). Donc le membre restant devrait pouvoir jouir du domicile en tant que locataire unique classique (s'il en a envie). Là n'est pas encore le vrai problème. En ce qui concerne la clause de solidarité j'ai tout compris, cependant il y a une autre clause que je ne comprends pas et c'est de cette clause dont l'agence fait référence. La clause dit ceci : "le congé donné par l'un des époux ou des co-titulaires du contrat de location emporte résiliation au profit de l'autre".
cela veut dire quoi exactement au profit de l'autre ?
Merci pour vos réponses et à bientôt.
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nefer
Modérateur
28499 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 09:29:05
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c'est une clause illéale
je vous suggère de parcourir le forum "colocation"......
ce sujet est très très.....souvent abordé et répondu |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 12:58:31
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C'était bien mon avis, ne reste plus qu'à trouver les textes.
Merci beaucoup et bonne continuation à tous le monde.
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 13:39:39
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Je suis tombé sur la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 censée règlementer la colocation. Or je l'ai parcourue en long, en large et en travers, et je ne vois rien concernant le départ d'un colocataire et les droits de celui qui reste. Concrètement sur quel article de loi je peux me baser pour certifier que la clause susmentionnée est illégale ? Parce que c'est bien de le savoir mais il faut le montrer aussi, et noir sur blanc, surtout à des personnes qui ont tout intérêt à ignorer cette loi.
Pour info : cette loi est ici :
http://www.legifrance.gouv.fr/texteconsolide/ACECQ.htm
merci pour votre aide
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Joulia
Pilier de forums
14807 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 16:21:33
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je suppose que vous n'avez pas regardé les discussions de ce forum dédié à la colocation ?
http://www.universimmo.com/forum/forum.asp?FORUM_ID=66
ouvrez le 1er sujet ... j'ai pris la peine de renseigner des textes qui ne parlent QUE de locations à plusieurs ... vous n'aurez qu'à vous reporter à la situation qui est la vôtre ... sinon regardez les autres titres des discussions et cliquez dessus ... 
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Cordialement, |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 18:47:18
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Vous avez mal supposé Joulia (merci de m'aider, bien entendu) et c'est en partie pour cette raison que je reviens à la charge. J'ai lu le topic dont vous parlez, seulement il y a une petite contradiction et j'aimerai être certain de plusieurs choses avant de sortir mes griffes (vis à vis de cette agence, évidemment).
effectivement dans ce lien :
http://www.conso.net/bases/5_vos_droits/1_conseils/conseil_380_fj125-_collocation_sous-loc.pdf
partie "colocation" je peux relever le paragraphe suivante:
"EN CAS DE CONGÉ DONNÉ PAR UN DES COPRENEURS; Ce congé met-il fin au contrat ?
Non : chacun est titulaire d’un droit. Le départ de l’un d’eux ne constitue pas une clause de résiliation de la location, qui se poursuit aux mêmes conditions avec celui ou ceux qui sont restés dans les lieux. Le contrat peut cependant prévoir que, dans une telle hypothèse, le contrat serait résilié, ou encore qu’il serait demandé au(x) locataire(s) restant dans les lieux de fournir alors le cautionnement financier d’une tierce personne. De telles clauses sont valables."
citation que l'on peut également trouver sur le topic que vous avez évoqué.
d'une part "nefer" indique que c'est une clause illégale, d'autre part ce lien dit clairement le contraire.
Et ma clause à moi qui m'embête c'est :
"le congé donné par l'un des époux ou des co-titulaires du contrat de location emporte résiliation au profit de l'autre"
J'aimerai seulement savoir si c'est valable ou non valable.
malheureusement la loi du 06 jullet 1989 n'est pas claire à ce sujet.
Voilà, voilà merci encore.
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 20:06:35
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Début partiel de réponse seulement. 
Pour les epoux, clause non valide Citation : http://www.jurisprudentes.org/bdd/faqs_article.php?id_article=3696
Citation : CODE CIVIL
Article 1751
(Loi nº 62-902 du 4 août 1962 Journal Officiel du 7 août 1962 rectificatif JORF 15 août)
(Loi nº 2001-1135 du 3 décembre 2001 art. 14 I Journal Officiel du 4 décembre 2001 en vigueur le 1er juillet 2002)
Le droit au bail du local, sans caractère professionnel ou commercial, qui sert effectivement à l'habitation de deux époux est, quel que soit leur régime matrimonial et nonobstant toute convention contraire, et même si le bail a été conçu avant le mariage, réputé appartenir à l'un et à l'autre des époux. En cas de divorce ou de séparation de corps, ce droit pourra être attribué, en considération des intérêts sociaux et familiaux en cause, par la juridiction saisie de la demande en divorce ou en séparation de corps, à l'un des époux, sous réserve des droits à récompense ou à indemnité au profit de l'autre époux. En cas de décès d'un des époux, le conjoint survivant cotitulaire du bail dispose d'un droit exclusif sur celui-ci sauf s'il y renonce expressément.
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Christophe
Location - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 - Décret n° 87-713 du 26 août 1987 - Décret n°87-712 du 26 août 1987 - Copropriété - Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 - Décret n°67-223 du 17 mars 1967 |
Edité par - quelboulot le 15 déc. 2007 21:34:28 |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 21:41:06
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Suite... Citation : http://www.leparticulier.fr/vdq/famille/lire_fiche.asp?id_index=30&oparent_index=6&id_fiche=108
Le concubinage
Le concubinage est défini comme une union de fait, caractérisée par une vie commune stable et continue, entre deux personnes, de sexe différent ou de même sexe, qui vivent en couple. Une communauté de vie est donc nécessaire pour qu'il y ait concubinage
Le logement en location :
Lorsque le bail est signé par un seul concubin, le partenaire qui n'est pas titulaire du bail est un occupant sans droit, ni titre. Il peut donc être expulsé du logement par son compagnon, sans aucun recours.Toutefois, si le concubin titulaire du bail abandonne le domicile ou décède, le contrat de location continue au profit de son concubin notoire qui vivait avec lui depuis au moins un an à la date de l'abandon du domicile ou du décès.
Le plus souvent, les concubins co-locataires sont déclarés solidairement responsables du paiement des loyers. Cela permet au propriétaire d’exiger l'intégralité du loyer à l’un ou à l’autre, à charge pour celui-ci de se faire rembourser. Si l'un des concubins donne congé, le bail continue simplement au profit de celui qui reste dans les lieux. Mais celui qui donne congé reste tout de même tenu au paiement des loyers jusqu'à la fin du bail en cours. A la dissolution du couple par décès, celui-ci continue au profit du survivant.
http://www.anil.org/guide/locatif/concu.htm#B LE LOCATAIRE EST EN UNION LIBRE
Vous vivez maritalement et louez votre logement Citation : VOUS ÊTES COLOCATAIRES
Vous signez tous les deux le bail : vous avez les mêmes droits et obligations vis-à-vis du bailleur.
Vous êtes responsables tous
Consultez l'ANIl de votre département
http://www.lesiteimmobilier.com/newsletter/actualite.aspx?arch_rid=3 http://www.lesiteimmobilier.com/info-logement/colocation-union-libre.aspx?panel=7-2 Le bail à preneurs multiples : couples et colocataires
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Christophe
Location - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 - Décret n° 87-713 du 26 août 1987 - Décret n°87-712 du 26 août 1987 - Copropriété - Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 - Décret n°67-223 du 17 mars 1967 |
Edité par - quelboulot le 15 déc. 2007 22:02:07 |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 15 déc. 2007 : 22:30:15
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Merci beaucoup Christophe,
j'ai lu avec attention les liens que vous avez postés. J'ai bien compris que tout cela constitue des généralités, je pense les avoir assimilées.
Mais dans la mesure ou les colocataires ont signé cette clause (qui va à l'encontre de ces généralités), est ce qu'elle est valable cette sacré clause ? Il y a plusieurs sons de cloches.
En clair, et pour finir l'agence peut elle mettre fin au Bail en vertue de cette clause qui a été signée ?
Après, je ne vous embête plus c'est promis.
Merci beaucoup |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 16 déc. 2007 : 00:10:09
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Aie, aie, aie.... Citation : http://www.conso.net/bases/5_vos_droits/1_conseils/conseil_380_fj125-_collocation_sous-loc.pdf

Citation : http://www.boursorama.com/patrimoine/information/detail-dossier.phtml?news=3592361
Bien gérer le départ d’un colocataire
- Lorsque l’un des colocataires envoie son congé et quitte les lieux, laissant en place les autres colocataires, il reste tenu, en vertu de la clause de solidarité du bail, au paiement du loyer et des charges jusqu’à l’échéance du bail initial ou de son renouvellement (Cass. civ., 3e, 12 juillet 2000). Par exemple, si le bail a pris effet le 1er janvier 2006 et que le colocataire quitte les lieux le 31 juillet 2006, il est redevable du loyer et des charges jusqu’au 31 décembre 2008 (sa caution solidaire également, ce que beaucoup ignorent, sauf s’il est précisé dans le cautionnement que l’engagement de caution cesse au départ du locataire). Si le colocataire part le 31 janvier 2009 (bail renouvelé pour une période de trois ans à compter du 1er janvier 2009), il est tenu au paiement du loyer jusqu’au 31 décembre 2011). Bien évidemment, pour que la cessation de la clause de solidarité soit effective au terme du bail initial, il faut que le locataire délivre congé dans les délais prévus par la loi (trois mois ou un mois selon les cas). Cela signifie, en reprenant l’exemple ci-dessus, que si le locataire bénéficie d’un délai de préavis d’un mois (il vient d’obtenir son premier emploi) et envoie son congé le 15 décembre 2008, son obligation au paiement du loyer et des charges court jusqu’au 31 décembre 2011. En revanche, le colocataire sortant n’est pas tenu au paiement de l’indemnité d’occupation qui pourrait être due par les colocataires restant dans les lieux alors qu’ils sont censés les avoir quittés, sauf si le bail étend la responsabilité du locataire sortant à cette indemnité (Cass. civ. 3e, 5 mai 2004). Précisons que le bail peut valablement stipuler que dans l’hypothèse du départ d’un colocataire, le contrat sera résilié, ou encore obliger les colocataires restant dans les lieux à fournir alors le cautionnement financier d’une tierce personne.
- Le bailleur n’a pas à restituer au colocataire sortant une quote-part du dépôt de garantie, ni à établir un état des lieux « intermédiaire ». En effet, le remboursement du dépôt de garantie garantissant l’exécution par le locataire de ses obligations suppose la restitution effective des lieux (Cass. civ. 3e, 21 novembre 1990) : le remboursement de la quote-part du sortant relève donc des accords des colocataires entre eux. Par ailleurs, la clause de solidarité permet de régler le sort des dégradations commises durant le bail, sans se soucier de savoir si elles sont intervenues avant ou après le départ du colocataire. Les colocataires restants devront penser à informer l’assureur du logement des départs éventuels et lui signaler tout nouveau locataire inscrit dans le bail.
- Quand le colocataire sortant est dans une situation lui permettant de bénéficier du délai de préavis réduit (un mois au lieu de trois mois), les autres colocataires (ni mariés, ni concubins, ni pacsés avec ce colocataire) ne peuvent pas en bénéficier. S’ils veulent donner simultanément leur congé, ils doivent respecter un préavis de trois mois (à moins, bien entendu, que, eux aussi, entrent dans l’une des situations permettant de prétendre au préavis réduit) (en ce sens, J.O. Sénat, questions et réponses, 1er janvier 2004, p. 29).
- Les colocataires peuvent soumettre la candidature d’un remplaçant au bailleur, qui n’est pas tenu d’accepter la personne proposée si celle-ci ne lui semble pas présenter les garanties financières suffisantes. Lorsque le bailleur agrée le remplaçant, il faut, pour entériner la nouvelle situation, établir un avenant au bail en cours (cet avenant indiquera la substitution de locataire) et le faire signer par toutes les personnes concernées. Pour l’instant, les tribunaux ne se sont pas prononcés sur le point de savoir si l’acceptation du successeur par le bailleur, constatée par l’établissement d’un avenant au bail, libère le colocataire sortant de sa solidarité. Lorsque les colocataires accueillent un remplaçant sans effectuer les formalités nécessaires auprès du bailleur (absence d’établissement d’un avenant au bail), le nouveau colocataire est, en fait, un sous-locataire. Cette sous-location non autorisée autorise le bailleur à demander la résiliation du bail.
A qui le bailleur doit-il adresser les notifications ? Le bailleur qui envisage de notifier un congé (congé pour reprise, par exemple) ou bien encore une proposition de nouveau loyer (en cas de loyer manifestement sous-évalué), sera prudent en adressant la notification envisagée à chacun des colocataires.
Pas trop bonnes infos, désolé.  |
Christophe
Location - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 - Décret n° 87-713 du 26 août 1987 - Décret n°87-712 du 26 août 1987 - Copropriété - Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 - Décret n°67-223 du 17 mars 1967 |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 16 déc. 2007 : 12:42:59
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Retour à la case départ ...
Merci pour toutes ces indications Christophe. En faite, on me dit de parcourir le forum car ce sujet est répandu, et puis on s'aperçoit que l'on est dans un cas bien particulier, d'où l'utilité de ce forum. En conclusion cette clause n'est pas illégale et je l'ai dans le baba. Moralité, la loi c'est bien, mais méfiez vous quand même des petites clauses ...
Merci à tous ceux qui ont contribué à éclairer ma lanterne et à éteindre le peu d'espoir que j'avais, faut bien se faire une raison.
(faut que je trouve maintenant un forum de soutien
)
bye bye |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 16 déc. 2007 : 13:16:08
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Et vous ne pouvez pas envisager de proposer au bailleur/agence le "cautionnement financier d’une tierce personne", si cela peut le rassurer.
Car en fait, qu'est-ce qui intéresse le bailleur... la certitude d'être payé chaque mois, que ce soit par vous ou par un autre...
Essayez éventuellement de contacter le bailleur en direct, car vous devez connaître ses coordonnées. 
De plus, mais là, "moi pas savoir", quelles sont les conditions prévues pour votre éventuel départ des lieux ?
Vous pouvez partir immédiatement sans aucun préavis, ce serait pile poil si vous trouvez un autre logement... pas de double loyer. 
Vous devez un préavis de combien de temps puisque c'est le bailleur, via le contrat, qui vous éjecte... ??????? Citation : (faut que je trouve maintenant un forum de soutien  )
Pour le soutien, on essaie aussi sur ce forum.  |
Christophe
Location - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 - Décret n° 87-713 du 26 août 1987 - Décret n°87-712 du 26 août 1987 - Copropriété - Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 - Décret n°67-223 du 17 mars 1967 |
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Joulia
Pilier de forums
14807 réponses |
Posté - 16 déc. 2007 : 15:44:10
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j'avoue effectivement que je suis très sceptique suite à la relecture de Grouire ... sorry j'ai effectivement été un peu vite à vous répondre à ce propos 
christophe, vous donnez un lien boursorama mais je me pose vraiment des questions ... entre autre le passage: - Quand le colocataire sortant est dans une situation lui permettant de bénéficier du délai de préavis réduit (un mois au lieu de trois mois), les autres colocataires (ni mariés, ni concubins, ni pacsés avec ce colocataire) ne peuvent pas en bénéficier. S’ils veulent donner simultanément leur congé, ils doivent respecter un préavis de trois mois (à moins, bien entendu, que, eux aussi, entrent dans l’une des situations permettant de prétendre au préavis réduit) (en ce sens, J.O. Sénat, questions et réponses, 1er janvier 2004, p. 29). on a vu que des jurisprudences postérieures, autorisent le départ de TOUS les coloc avec préavis reduits suite à l'obtention de cette raison par l'un des coloc. ce n'est ni blanc, ni noir ... et de l'avis de tous (y compris UI), ce serait discutable face à un juge. Pour cette clause au contrat, il faudrait étudier la question d'un peu plus prés.
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Edité par - Joulia le 16 déc. 2007 15:46:00 |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 16 déc. 2007 : 19:01:38
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Pour Christophe :
Vous pensez bien que j'ai déjà tenté plusieurs approches, mais il semble à cheval sur certain principes ou plutôt devrais-je dire sur certaine clauses ...
Je pensais qu'il y avait une hiérarchie des lois, et on peut se rendre compte dans certain cas qu'une simple phrase dans un contrat peut remettre en question pas mal de choses. Donc finalement, il suffirait pour tous les bailleurs de repenser la Loi et d'établir le contrat en fonction de leur envie.
En clair, la loi dit une chose sauf si le contrat en dit une autre, on peut se demander à quoi ça sert véritablement ... une Loi. Qu'est ce qu'une clause illégale alors ? Ca devient philosophique là, je commence à avoir mal au crâne. |
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 17 déc. 2007 : 02:42:05
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J'ai relu attentivement la Loi du 6 juillet 1989, dîtes moi ce que vous pensez de ça : est réputée non écrite toute clause :
article 4
g) Qui prévoit la résiliation de plein droit du contrat en cas d'inexécution des obligations du locataire pour un motif autre que le non-paiement du loyer, des charges, du dépôt de garantie, la non-souscription d'une assurance des risques locatifs ou le non-respect de l'obligation d'user paisiblement des locaux loués, résultant de troubles de voisinage constatés par une décision de justice passée en force de chose jugée ;
Est-ce qu'on peut considérer que le locataire refusant de partir, malgré une clause qui le prévoit, n'execute pas une obligation du contrat ?
Si vous arrivez à m'expliquer de manière à ce que je comprenne en faisant référence à mon cas, alors là, je pense que je serai satisfait.
Merci à vous.
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grouire
Contributeur actif
34 réponses |
Posté - 24 déc. 2007 : 02:20:49
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Bon, et bien merci quand même
et Joyeux Noel à tous
Bye bye
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