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Luc Standon
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161
 Posté - 09 oct. 2009 : 21:54:17
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La Deuxième Tête...
ChĂ´mage en baisse
Jean Sarkozy de Nagy Bosca trouve un emploi à l’EPAD
Démontrant encore une fois qu’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, le président de la République vient de faire significativement baisser les chiffres du chômage dans la catégorie durement touchée des 18-25 ans.
Par son entremise, c’est en effet un jeune étudiant en droit, Jean Sarkozy, qui embauchera le 4 décembre à l’EPAD (Etablissement Patrimonial d’Acquisition de Devises) (Etablissement Public d’Aménagement de la Défense) en tant que... Président. Voilà une forme très intéressante de gouvernance, un vrai succès pour les favelas de la Défense et sa population déshéritée.
Ce contrat (en alternance) permettra à Jean Sarkozy, 23 ans, d'une part, d’enrichir une formation multidisciplinaire puisqu’il est déjà président du groupe UMP au Conseil Général des Hauts-de-Seine, un département particulièrement difficile à gérer pour la majorité présidentielle, surtout au moment de la distribution des cadeaux à Noël. Il a déjà fait ses preuves en obtenant une relaxe (qui équivaut à un 14 en droit pénal) en 2008. D'autre part, ce contrat va permettre à Jean Sarkozy de bénéficier d’une réelle convergence de synergies entreprenariales, un afflux de talents industriels et financiers au service des habitants du plus gros quartier d’affaires europée. Et accessoirement, cela démontrera une fois de plus que l'université est à réformer définitivement en commençant par la Fac PASQUA.
Un plaisantin a publié ce soir une petite-annonce très amusante
dans la rubrique "bons plans" du site officiel de La DĂ©fense.
Pour mémoire, l’EPAD est chargé de valoriser le quartier sinistré, voire paupérisé, de la Défense, en banlieue parisienne occidentale. Il vend entre autres des droits d’aménagement et de construction à une multitude de TPE et PME luttant pour leur survie, comme la Société Générale, EdF, Areva, etc. Les dirigeants de ces sociétés sont alors très très reconnaissants envers la personne qui a sauvé leur petite entreprise de la faillite, ou du moins d’un siège social en Seine-Saint-Denis, département mitoyen limitrophe.
Cerise sur le gâteau pour Jean Sarkozy, l’EPAD changera de statut le 1er janvier prochain pour piloter ce qui deviendra la pierre angulaire du Grand Paris, un projet cher à un ancien président de l’EPAD, Nicolas Sarkozy de Nagy-Bosca. Non, on n’est vraiment jamais aussi bien servi que par soi-même : Comme quoi dans ce pays, le mérite, l’effort et l’arbre généalogique sont encore des valeurs sûres digne de remplacer les 3 mamelles de la République.
A contrario d'un mouvement anti-jeunes, repris maladroitement par une certaine classe politique souffrant de jalousie chronique et n'ayant aucune motivation pour la réussite d'un jeune, souhaitons donc à Jean Sarkozy de Nagy-Bosca la plus grande réussite dans ce projet, en particulier dans la clarification des comptes de l’établissement.
Nous ne doutons pas qu’il s’y engagera à mort et redonnera à la jeunesse de France l’envie d’entreprendre en prouvant qu’on peut diriger l’un des plus grands quartiers d’affaires européens sans diplômes, sans expérience professionnelle et sans QI. Une nouvelle preuve qu’avec de la volonté, du talent et une belle coupe de cheveux, on peut parvenir à tout. Les fils Sarkozy, Bouygues, Bolloré, Seillières, Lagardère, Grimaldi sont des exemples pour la jeunesse de France. Ils sont parvenus, pourquoi pas vous, feignasses ? Et ne me dites pas que c’est parce qu’ils ont des parents. Tout le monde a des parents, que je sache. Alors pourquoi insinuer que le népotisme serait infect ?
En plus, Jean, tu as de la chance : il y a un Boulevard Circulaire rien que pour toi, sur lequel tu pourras te détendre en scooter après tes longues heures de travail. Méfie-toi cependant si le fils Fillon te propose de faire la course avec son 4x4...
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Édité par - Luc Standon le 09 oct. 2009 23:46:15 |
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Luc Standon
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 162
Posté - 18 oct. 2009 : 17:18:31
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La semaine ayant été agité, personne ici pour nous parler du grand cru du Prix Nobel™ de l'Économie ©2009 ?
Personne pour nous décrire la véritable histoire de la défense la propriété collective selon Elinor Ostrom avant d'intégrer le très sélect et très fermé club Américain des Prix Nobel™ de l'Économie ?
Alumni : L'amicale des anciens élèves de l'Université d'Indiana
Avoir 20 ans Ă l'uni, c'Ă©tait dure !
J'avais un camarade correspondant
se prénommant George Marchais
L'idée de propriété collective n'est pourtant pas nouvelle, ni sortie de la cuisse de Jupiter, pas plus que celle d'Elinor Ostrom : La République Démocratique de Chine (China pour les intimes), l'ex-URSS, Cuba, et la Corée, entre autres n'en n'ont t'ils pas jeter des exemples concrets ?
Certes, qu'il soit possible d'opposer la propriété individuelle à la propriété collective dans un mémoire troskiste digne de réjouir les anciens membres du CCI, dans un colloque où il faut moraliser le Capitalisme Mondial, sans pinailler sur les détails, cela peut paraitre troublant et déroutant.
Mais peut on, dans un même mémoire intellectuel, opposer différentes idées conceptuelles sur le Collectivisme, le Conseillisme, l'ouvriéisme, etc ? Certes il faut se méfier des "ismes" autant que des schismes.
Quoiqu'il en soit, la copropriété, n'est elle pas une forme de propriété collective ? Avec des parts de propriétés communes ? Certes on est loin du concept de propriété publique ?
Au final la cérémonie de clôture du Nobel™ de l'Économie ©2009 s'est terminé avec l'ensemble des participants chantant la Makhnovtchina... En mémoire à Madoff, Kerviel, les nombreux traders anonymes, évidement sans oublier toutes les autres victimes touchés eux-aussi par la crise.
Coté Français, l'information n'est pas passé inaperçue, et répondant ainsi aux échos d'Outre-Atlantique, Le MEDEF à lui-même poussé la chansonnette:
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Édité par - Luc Standon le 18 oct. 2009 19:28:45 |
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Luc Standon
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163
Posté - 20 oct. 2009 : 01:29:10
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Bien que l’administration d’une fessée cul nul à quelques socialistes soit toujours agréable au moral, cela n’en élude pas moins une question qui se fait de plus en plus présente dès qu’un enjeux électoral apparait : étant donné que, selon le théorème de Nico :
Doit on dès lors procéder à une élection ?
L’élection qui vient d’avoir lieu est donc une nouvelle victoire de l’UMP à accrocher au mur des victoires déjà bien lourd de trophées, et donc aurait-elle dû avoir lieu ?
Est-il nécessaire de s’embarrasser à imprimer des bulletins de vote, de détourner des journalistes de leur important travail de retransmission de la parole présidentielle, et d’appeler les citoyens à venir voter UMP le dimanche, sur leur temps de travail ? Doit-on continuer de céder au sadisme de faire croire aux socialistes qu’ils pourraient encore gagner une élection un jour ? Ces jeux cruels doivent-ils continuer dès lors que, avec des chaussettes ou à la régulière, et même avec un bras dans le dos : l’UMP reste victorieuse ?
L’UMP ne doit-elle pas plutôt apprendre à grandir et cesser de torturer ces derniers socialistes qui, bientôt, n’auront même plus un siège ou s’asseoir à moins de se laisser glisser dans une ouverture qui, hélas pour eux, prend de plus en plus la forme d’un entrebâillement de discothèque avec une sécurité et un physio à l’entrée qui rejette implacablement tout ce qui s’est coupé la joue en jouant a se mettre un truc tranchant entre les dents ? Cela ne suffit-il pas ?
Un thinktank Constitutionnel de brisage de tabous, pense qu'il est temps de mettre un terme à l’un des derniers jeux pervers de notre système électorale : "Cessons cette matanza sanguinaire ! Ne prenons plus plaisir en cette corrida mortifère ! Nous devons prendre exemple sur les pratiques démocratiques d’autres nations qui s’épargnent cette puérilité grâce à un système électoral moderne comme, par exemple, l’Iran où l’on a depuis toujours assuré l’élection du candidat naturellement le mieux pourvu à assumer la fonction en jeu. Ainsi, l’Iran moderne ne s’embarrasse plus de folklore et de perversion : il anticipe le résultat électoral ! C’est vers cela que doit tendre notre démocratie trop longtemps handicapée par des règles désuettes et dépassées car archaïques ; pensez donc que ces règles s’inspirent d’idées émises au XVIII ème siècle, voir au XVII ème ! La réélection de Mahmoud Ahmadinejad, ne surprend que le camp ultra-communiste qui pensait avoir toute ses chances en plaçant à sa tête Frédérik Bernard, un candidat issue d’une assez récente politique d’ouverture du PS à des gens de droite."
Rendons leur dignité aux derniers socialistes ! La gauche est incurable et la médecine est impuissante face à cette maladie mentale, même le Docteur House approuverait un tel diagnostique aussi douloureux soit-il à annoncer. Ils ne méritent pas cette torture incessante que nous leur prodiguons en entretenant leur espoir de revenir un jour au pouvoir.
Réformons le code électoral directement via Twitter ou brûlons-le !
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Édité par - Luc Standon le 20 oct. 2009 08:30:12 |
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Luc Standon
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164
Posté - 20 oct. 2009 : 21:44:47
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Pour sa première intervention à l’AN, on pouvait s'attendre à une meilleure prise de judo parole.
Douillet a loupé son Ashi Gatame Jime
Analyse sur la stratégie de communication politique...
C'est sans aucun doute que l'on peut reconnaitre les compétences d'un élu (ou de son avocat) lorsque ce dernier exerce au mieux son habilité à plaider communiquer pour transformer un échec en victoire cinglante. La guerre fratricide à droite ayant laissé quelques cadavres dans les placards, autre que celui d'Imad Lahoud, l'arabe de service comme dirait B. Hortefeux, un "second couteau... sans qui... rien n'aurait été possible"; clôturant l'affaire ClearStream "dite affaire du Courant Limpide" l’avocat de Charles Pasqua s'adresse en ces mots à l'accusé au présumé les mains blanches "M. de Villepin, bienvenue au club des flingueurs flingués !"
M. de Nagy-Bosca sait que mieux que quiconque que dans certains cas, il faut savoir perdre (un peu) pour gagner (plus).
Fort de cette expérience d’autrui, le PS exploite la même rhétorique de gagne-petit... en vain.
C'est ainsi, qu'au lendemain de la victoire olympique d'un judoka médaillé sur le tatami politique, lors d'une partielle de la lointaine banlieue du 7-8, que l’emploi de la dialectique de gôche montre d'abord les faiblesses de l'UMP.
En effet, le PS n'a pas eut l'indécence de parachuté une Laure Manaudou en face à face politique à un autre sportif de l'Olympe. La secrétaire du PS estimant elle-même que la victoire du PS aurait été, dès lors, trop basse facile, surtout que les affiches de campagne étaient très attrayantes et dans le plus simple appareil...
Nul besoin de rappeler que les nombreuses photos de L. Manaudou nue auraient largement incité l’électeur mâle lambda à aller aux urnes plutôt qu’au pipe-show un dimanche, tout autant que les photos de D. Douillet ont pu inciter manipuler l’électorat de femmes âgées des maisons de retraite des Yvelines à s’y rendre.
Mauvais choix de casting ou pas, pour le PS, une erreur de communication en vaut bien une autre, Martine ironise : « Moi au moins je n’ai pas foiré mon site internet volontairement afin de refiler 40K€ TTC à mon compagnon ».
Madame Royal n'appréciant pas la remarque de sa camarade, pourtant juste et pertinente, réplique fermement : « mais Martine aurait dû penser qu’il faut devant un adversaire politique opposer les images médiatiques réciproques, ainsi il aurait été judicieux de mettre Laure en face de David. De même que si Gilbert Montagné se présentait dans une circonscription en faveur de l’UMP, il faudrait l’opposer à Richard Gotainer ; le face à face Doc Génico (UMP) versus Plastic Bertrand (PS) pourrait aussi avoir un côté artistique indéniable. »
M. Royal n’eut elle pas fini de démontrer l’art de la communication en politique par l’exemple, que notre bon Frédo Lefèvre réagissait déjà aux propos : « Et si l’UMP se faisait une gloire de mettre Emmanuelle Aurélie Munos, alias Clara Morgan, sur le devant de la scène politique, pour l’exemple de réussite entrepreneuriale féminine, nul doute que le PS irait trouver une version française de la Cicciolina ? »
De lĂ Ă s'attendre au retour de Bernard Menez en politique ?
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 Posté - 22 oct. 2009 : 22:40:57
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Un petit mot rapide en cette fin de semaine.
La bourse s'affole, ou plutot toutes les bourse mondiales sont au plsu haut depuis un an, le rattrapage depuis les plus bas est proprement effarant.
On lit ici et la que c'est compréhensible, car
1/ la reprise pointe son nez,
2/ les résultats ne sont pas aussi mauvais que l'on craignait,
3/ et que (ne pas rigoler) la Chine et le Brésil consomment TELLEMENT de pétrole, de cuivre, d'argent et d'or, qu'il est normal que les cours des matières premières s'envolent.
Je ne sais pas vous, mais si c'est comme ca en pleine dépression, je n'aimerais pas être nous dans un an quand (prétenduement) tous les pays vont se remettre à consommer.
Je n'y crois pas un instant.
Les mĂŞmes maux provoquent les mĂŞmes dommages.
Les USA avaient fait marcher la planche à billet, et les dollars dépréciés inondant les marchés, on n'avait du qu'à une mécanique extremement sofistiquée de cache des excédents de ne s'apercevoir qu'en septembre 2008 seulement de l'étendue réelle du désastre.
Nous avons alors soigné le mal par le mal, et les USA comme l'Europe ont créé encore plus de monnaie.
C'était nécessaire, à moins d'accepter une récession forte doublée d'un écroulement partiel ou total du système financier, il fallait donc le faire.
Grosso modo, on savait que puisque les USA seuls l'avaient fait seuls et que ca menait Ă la catastrophe, en le faisant a plus large Ă©chelle encore, et Ă plus de pays, ca ne pouvait qu'ĂŞtre encore pire. Mais il n'y avait pas d'autre choix.
Je crois que nous y sommes, cette fois en cette fion octobre 2009:
Apréciation des actifs hors de proportion des résultats réels
Esrtimation des bénéfices ne prenant aucunement en compte les augmentation des chomages, donc les diminutions (oui, ca va ENCORE diminer) des consommations
Explications oiseuses, parfois éhontément trompeuses, des envols des matières premières par des prétendues consommations qui n'existent pas.
Détournement généralisé hors des placements court-terme qui ne rapportent plus rien.
Je ne vois pas comment ces sommes gigantesques (les fameux plans de relances et les fameuses injections massives dans les banques exangues qui ne le sont plus) vont pouvoir soutenir longtemps des marchés en hausse continue, il va bien faloir que les uns et les autres lachent prise.
Compte-tenu du rendement nul du court-terme, tout le monde a intérêt a lacher prise le plus tard possible.
Cela s'appele un krach, un vrai...
Il va avoir lieu devant nous. |
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Posté - 22 oct. 2009 : 22:56:21
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Vous ne pensez pas qu'il serait temps d'indiquer à l'auteur de ce fil que nous allons bientôt passer le cap de 2010 et que le titre du sujet fait "vieillot" comme le disait ma grand mère... |
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Luc Standon
Contributeur vétéran
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167
Posté - 23 oct. 2009 : 01:11:57
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citation: Initialement posté par ribouldingue
Un petit mot rapide en cette fin de semaine.
La bourse s'affole, ou plutot toutes les bourse mondiales sont au plsu haut depuis un an, le rattrapage depuis les plus bas est proprement effarant.
.../...
Effectivement courant début Mars 2009, le CAC40 était aux alentour des 2500 pts, avec des journées en dessous des 2450 pts. Fin Octobre 2009, on avoisine les 3900 pts. Soit 3900-2450 = 1450 points en 7 mois environs ! Et une augmentation d'environ 60% en 7 mois : un record !
A cet vitesse, on arrivera possiblement à revenir aux cieux des 6000 pts (et plus si affinité) au moment des élections de 2012. A n'en pas douter le but intermédiaire est d'arriver aux 4000 pts d'ici la prochaine trêve des confiseurs, tout en faisant quelques prises de bénéfices d'une semaine sur l'autre.
Certes "Les traders ne sont pas à l’origine de la faillite du système, même s'ils ont clairement contribué à la formation d’une bulle", et il faut donc les récompenser de leur travail mérite, les congratuler des bienfaits qu'ils exercent sur la société toute entière, à l'exception de Causette qui s'est stupidement PACSé à Gavroche en espérant une égalité des chances tout en attendant l'ascenseur social.
D'ailleurs le fait d'accuser les traders du sort de l'économie, reviendrait à accuser le boucher du coin de ne plus avoir suffisamment de barbaque pour nourrir tout le monde (sous conditions d'octrois selon certains critères d'éligibilité).
Bref, nous renouons enfin avec nos sources et nos valeurs, mais aussi avec le mythe d'Icare appliqué à l'économie : le même mythe dont les dirigeants devaient moraliser réfréner le désir d'aller toujours plus haut.
citation: Initialement posté par quelboulotVous ne pensez pas qu'il serait temps d'indiquer à l'auteur de ce fil que nous allons bientôt passer le cap de 2010 et que le titre du sujet fait "vieillot" comme le disait ma grand mère...
C'est un peu tard pour faire un fil 2009. Par contre, il est fort possible qu'au début de l'année prochaine, s'ouvre effectivement le sujet 2010.  |
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Luc Standon
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Posté - 24 oct. 2009 : 01:09:30
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Après avoir briser la carrière de Juju le collectionneur, le lobby des internautes a encore brisé une carrière, la carrière d'un jeune de banlieue du 9-2 alors qu'il était en plein monter de l'ascenseur social ! Un renoncement en forme de rampe de lancement vers de futurs victoires, cependant.
L'effet papillon domino emporte tout de même un drame familiale, puisque dans la foulée, le petit Louis Sarkozy "junior", (demi-frère de petit jean) a renoncé au poste de délégué de sa classe de 6ième, alors qu'il avait obtenu un 12 (sans anti-sèches) à son contrôle de géographie mention spéciale ONU.
T’as pas l’impression de voler la place à ton grand frère ?
Certes, chaque parent peux se sentir fier comme un coq gaulois en haut d'un tas de fumier, lorsque sa progéniture en arrive à dépasser le maitre en la matière. Ce qui vaut bien un petit commentaire d'encouragement sur FaceBook, par la même occasion. Après tout le but de chaque parent n'est il pas d'élever sa descendance vers de meilleurs horizons que la ligne bleu des Vosges.
Il faut bien reconnaitre une chose, le jeune homme de 23 ans, sait tout de même tenir la barque avec élégance, et, les médias avec tact, à en faire rougir de honte n'importe quel blogger politique depuis plus de 10 ans, n'en déplaise à ces séniors du net qui trouvent la gloire via twitter et autre facebook. Respect pour son âge, et après seulement deux ans d'expériences dans le domaine, le petit jean a démontré qu'il savait rester humble dans l'adversité politique, et que d'une défaite, il était capable de la tourner à son honneur. Si il continue dans cette voie, et sur les traces de son père, nul doute qu'il sera être un adversaire politique redoutable vers 30 ans/35 ans. |
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Édité par - Luc Standon le 24 oct. 2009 01:15:00 |
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Luc Standon
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Posté - 26 oct. 2009 : 11:42:07
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L’absentéisme, fléau pour l'école publique, fait aussi des ravages à droite sur les bancs de l'assemblée représentative du bon peuple. Mais ce problème n'est pas nouveau.
Ainsi JF Copé avait trouvé la parade pour ne pas obliger les députés UMP à siéger jeudi dernier (22/10/2009), lors de l’examen de trois propositions de loi du groupe socialistes : renvoyer les votes solennels sur ces textes à demain mardi (27/10/2009), jour de grande affluence à l’Assemblée.
Pour protester contre la présence de seulement huit députés UMP en séance, Jean-Marc Ayrault a demandé aux députés PS de quitter l’Hémicycle.
Vendredi (23/10/2009), Alain Marleix a dû réserver le vote des amendements sur le redécoupage électoral, car les 50 élus PS présents étaient archimajoritaires face à une dizaine d’élus UMP. |
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Luc Standon
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Posté - 26 oct. 2009 : 14:48:19
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Au jeu électorale représentatif, à l'Assemblée Nationale, il y a aussi un bouton pour :
1 - je passe mon tour, ou
2 - mazette, on rejoue la partie.
Refaisons les grands votes de l’Histoire
avec Lamour et Lagarde
L’anecdote aurait pu constituer un réjouissant signe des temps : appelé à se prononcer contre un amendement de l’opposition, M. JF Lamour n’a pas vu sur son boîtier de vote électronique le bouton de droite, usé jusqu’à la racine par sept années de tamponnage enthousiaste de la majorité UMP.
Trompé par les apparences, M. Lamour a pressé le mauvais bouton, entraînant par là -même une taxe supplémentaire de 10% sur les banques.
C. Lagarde : "Lamour ne se trompera plus de bouton, on lui a pété la main gauche ce W-E".
Protestant de sa bonne foi auprès de Christine Lagarde, il a toutefois réussi à obtenir un re-vote de l’amendement, qui aura lieu ce lundi soir.
Avec cette innovation législative, le parlementarisme à la Française prend une nouvelle dimension et s’affranchit d’une philosophie constitutionnelle qui, bien souvent, constitue un obstacle au progrès plutôt qu’une garantie des libertés publiques. Et puisque nous traversons les dimensions, pourquoi ne pas re-voter les textes qui ont terni l’image de notre Brave Patrie ? Donnons-nous enfin un passé qui fasse honneur aux rêves d’avenir de 53% des Français !
Jeff Copé : "Le premier qui donne une procuration de vote à Lamour,
je lui pète la couille gauche personnellment."
1 - Avril 1848 : Abolition de l’esclavage
Une poignée d’ultra-gauchistes cachée derrière des rideaux et sous les escaliers de l’Assemblée Nationale parvient à s’emparer du pouvoir à la faveur d’une émeute urbaine mal maîtrisée. Alors que depuis l’aube des temps historiques toute nation non marxiste qui se respecte utilise l’esclavage la force humaine bénévole comme moteur de son économie, elle avance une idée droit-de-l’hommiste incroyable : établir des fiches de salaire pour les indigènes des colonies !
Au cours d’une précédente saillie révolutionnaire, en 1794, une réforme similaire du code du travail, avait déjà démontré son inefficacité en termes de marge pour les petits exploitants de la Nation extra-métropolitaine. Un leader de l’UMP de l’époque y avait mis le hola, le 20 mai 1802 en proclamant : "L'esclavage est maintenu dans les territoires récupérés par le traité d'Amiens (comme la Martinique..), et dans les Mascareignes (Réunion...) où il n'avait jamais été aboli dans la pratique."
M. JF Lamour, à la tête d’un régiment d’escrimeurs, a pour mission de bouter hors du Palais Bourbon tout ce qui porte des baskets et un survêt’.
Arrivé en chaise à porteurs a 14h33, il se dirige vers l’ascenseur pour se rendre au 1er étage, et là , c’est le drame : le jeune Jeff (JF Copé) glisse et appuie sur le mauvais bouton.
Douze étages plus bas, les ultra-gauchistes livrés à eux-mêmes en profitent comme des pédophiles lâchés dans une crèche : ils font la nique aux députés et proclament un gouvernement provisoire qui mettra un terme définitif au travail au noir.
Réfugié ensuite sur le toit du Palais Bourbon, Jeff comprend qu’il a commis un impair à la vue d’un petit groupe de travailleurs négrillons sans culotte qui fait des triples sauts place de la Concorde. Il envoie aussitôt une missive à Christine Lagarde qui, horrifiée par le manque à gagner potentiel pour les entreprises françaises en période de Crise, persuade les putschistes pseudo-sportifs de re-voter le texte en échange d’une niche fiscale avantageuse. Ils acceptent, et l’esclavage est maintenu. Pour éviter un trop grand mécontentement populaire, les émeutiers offriront toutefois leurs vêtements aux esclaves et les remplaceront par d’inconfortables costumes trois-pièces en signe de pénitence.
Ceci explique qu’aujourd’hui encore les députés et les Noirs des cités ne s’habillent pas de la même manière.
Un amendement dans les textes officiels proclame
un décret qui annonce simplement que
le terme "esclave" est remplacé par "salarié".
2 - Juin 1936 : Les congés payés
Alors qu’en Allemagne et en Italie on s’affaire à se doter de tous les atours de pays modernes et compétitifs, tant du point de vue social qu’économique, en France, on lâche carrément la rampe et c’est la rue qui gouverne. La Crise de 29 s’est durablement installée, mais au lieu de créer un ministère de la Relance et de faire un grand emprunt national, les socialistes s’engagent dans une coûteuse et inutile politique destinée à permettre aux enfants défavorisés d’aller voir la mer en famille aux frais de la princesse.
C’est dans ce contexte que M. JF Lamour se penche sur son pupitre de l’Assemblée Nationale, face aux touches Oui et Non. Il ne sait plus trop, vu que la veille, il a patriotiquement trouvé un débouché a un échantillon d’excédent de pinard de la guerre de 14.
Sa vue est trouble, les touches se chevauchent et finalement il perd connaissance sur le Oui. A son réveil, Christine Lagarde a obtenu un re-vote en échange de l’assurance que l’Allemagne ne toucherait pas à la Pologne. Mais elle ne pardonne pas à M. Lamour, car les congés, déjà ... mais en plus payés ! Quelle impéritie en période de crise !
Christine Lagarde dans les couloirs de l’Assemblée, vendredi.
3 - Juillet 1940 : Pleins pouvoirs au maréchal Pétain
Quatre ans plus tard, 649 membres du parlement de la IIIe République font un repli stratégique sur Vichy et planifient la contre-offensive. Quelques couards préfèrent faire route vers Casablanca pour écouter du piano.
M. JF Lamour, comme ses collègues, est fatigué par plusieurs semaines de combats héroïques. Ses yeux sont crottés de la boue des tranchées, ses doigts écornés par les pressions incessantes exercées sur son fusil Lebel, ses tympans percés par le fracas de l’artillerie ennemie. Il n’entend pas la question, ni ne peut la lire. Il croit comprendre qu’il s’agit de faire la paix avec l’Allemagne, et vote de bon cœur pour l’adoption d’un Traité Constitutionnel Européen.
Erreur : il confie la représentation nationale au maréchal Pétain, le vainqueur de Verdun, ultime affront fait au Reich. Craignant que ceci suscite l’ire du bougon Hitler, il s’ouvre de ses craintes à Christine Lagarde, qui verrait plutôt d’un bon œil l’ouverture d’usines Volkswagen en région PACA. Mme Lagarde obtient à la force du poignet un re-vote, qui confie les rênes de la zone sud à l’Allemagne. En contrepartie, le Japon s’engage à ne pas attaquer les États-Unis.
4 - Avril 1962 : Référendum sur les accords d’Evian
La question était certes imbitable : « Approuvez-vous le projet de loi soumis au peuple français par le président de la République et concernant les accords à établir et les mesures à prendre au sujet de l’Algérie sur la base des déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 ? », ce qui est ridiculement disproportionné par rapport au Oui ou au Non attendu des électeurs.
Mais l’erreur de vote de M. Lamour tient à une toute autre raison : à la sortie d’une dégustation gratuite de Sidi Brahim, M. JF Lamour se rend au bureau de vote le plus proche pour accomplir son devoir de patriote. Un accident terrible survient quand il tire derrière lui le rideau de l’isoloir : la soudaine pénombre le surprend et une cacahuète cacahouète se coince dans sa trachée. Face à la mort, il n’écoute que son sang-froid et tente de discrètement régurgiter. Las, une goutte s’échappe et vient souiller le bulletin marqué Non.
Humilié, trop épris des principes intangibles de la démocratie pour glisser dans l’urne ne serait-ce qu’une gouttelette de vomi, M. Lamour vote Oui à contrecœur. Ce n’est que le lendemain matin, après s’être remis des frayeurs de la veille, qu’il ose appeler Christine Lagarde et lui avouer son faux-pas gastrique. Devant cette erreur excusable, Mme Lagarde décide de faire re-voter le référendum le lundi suivant.
Pour des raisons pratiques, ce sera à la section oranaise de l’UMP. Le verdict des urnes est bien plus satisfaisant : l’Algérie reste française à 88% des voix. Six membres de la section disparaissent peu après au cours d’un incident non élucidé à ce jour qui implique un fil électrique dénudé, un jacuzzi et des plombages défectueux.
5 - Janvier 1975 : Dépénalisation de l’IVG
Le RPR, l’ancêtre de l’UMP dirige la Nation. Tout va bien pour la patrie. Nous sommes à six ans d’une catastrophe, mais là , tout va bien : le président est UMP, le gouvernement est UMP, les assemblées sont UMP, tout va pittoresquement bien. Les femmes ont en moyenne 8,4 enfants et les aiguilles à tricoter servent de fourchettes à escargots.
A la faveur d’un complot judéo-maçonnique, un texte de loi légalisant l’assassinat des petits enfants est pourtant adopté. Les escaliers et les rideaux de l’assemblée avaient été nettoyés de leurs socialistes... comment cela a-t-il pu arriver ?
A la cantoche ce jour-là , c’était chili con carne. A 13h15, d’un bloc, les députés UMP partent faire caca et confient précipitamment une procuration à Jean Francois Lamour, qui avait amené sa gamelle. Distrait par un communiste qui lui propose de partager son dessert, le jeune Lamour appuie sur la touche Non et valide ainsi 378 fois la question piège « êtes-vous contre la dépénalisation de l’IVG ? »
C. Boutin s'effondre en larme, lors du premier vote.
Jeff (encore lui) est ensuite invité par le groupe communiste à trinquer autour de quelques boutanches de sang humain. Cela lui met la puce à l’oreille et il va s’excuser auprès de Christine Lagarde.
A ce moment-là , le bilan carbone de Mme Lagarde ne lui permet pas de s’offrir le luxe d'hurler tout ce quelle pense de Jeff à travers la porte des WC. Elle fait toutefois procéder dès le lendemain à un re-vote au motif que l’esprit de la loi a été un peu dérangé et qu’on ne peut pas envoyer comme ça à l’abattoir des millions de petits enfants.
Au second vote, C. Boutin se ressaisie
et claque une bible dans la tronche
de chaque socialiste présent sur les bancs.
Le taux de natalité français demeure d’un haut niveau. L'Europe nous envie.
6 - Septembre 1981 : Abolition de la peine de mort
Six ans plus tard, tout va mal. Très mal. Le Président, le gouvernement, l’Assemblée Nationale ont juré fidélité et soumission à Moscou. Les malheurs s’abattent sur la France comme les plaies sur l’Egypte Ancienne : ISF, régularisation des sans-papiers, cinquième semaine de congés payés, dépénalisation de la sodomie... Bref : ca pue !
Au Sénat, dernier rempart contre les vents pestilentiels soufflés par le Communisme International, M. JF Lamour écope de l’abolition de la peine de mort et comprend qu’on veut mettre fin à la guillotine. Ça tombe bien, lui préfère l’épée : la France s’engage à ne plus décoller qu’à la main.
Après le vote, à la sortie de la buvette, il réalise qu’il vient de contribuer à relâcher dans la nature une bombe à viols, meurtres et autres joyeusetés comme les affectionnent tant les socialistes.
Il court se jeter aux pieds de Christine Lagarde et la supplie de l’exécuter sur le champ pendant qu’elle en a encore le droit. Hésitante à faire ça en public et comprenant qu’elle ne rattraperait jamais les taches que cela occasionnerait à son tailleur Chanel, elle lui pardonne et propose un deal aux fans de Lénine : on revote et en échange les socialistes obtiennent le droit de faire du boucan à tout va dans les rues tous les 21 juin, suite à une négociation secrète avec L. Jospin, lui-même ex-troskiste.
Enthousiastes, les socialistes acceptent, et la France reste le dernier pays d’Europe Occidentale où les bourreaux ne sont pas au chômage technique.
7 - Mai 2005 : Référendum sur le Traité Constitutionnel Européen
L’Europe à 27 est devenue ingérable : trop d’Européens de l’Est et pas assez de commissariats. Il est plus que temps d’établir les bases d’une constitution, et de grands spécialistes comme Valéry Giscard d’Estaing s’y attellent entre deux romans érotiques softcore.
A la mi-mai, comme 42 millions d’autres Français, M. JF Lamour constate que sa boîte aux lettres est bouchée par 1200 pages de papier recyclé. Il agrippe son débouche-évier et pompe comme un forcené avant de finir le travail par un bidon de Destop et une allumette.
Deux semaines plus tard, référendum surprise : M. Lamour approuve-t-il le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe ? Le ministre de la Jeunesse et des Sports n’est pas con et ne se laisse pas berner par cette manœuvre éclair : il sait bien que c’est à cause de l’Europe que le camembert est en danger et qu’on ne trouve plus de pommes de terre rigolotes. C’est avec détermination qu’il vote Non.
Le soir même, il réalise qu’il a fait une erreur en voyant le visage défait de Jacques Chirac à la télévision. Il appelle aussitôt Christine Lagarde et s’excuse pour avoir confondu entre la bonne et la mauvaise Europe.
Madame Lagarde essaie d’organiser un nouveau vote le lendemain, mais il faudrait réimprimer quarante millions de traités. C’est trop cher. Après une longue bataille et un nouveau président, le Congrès, à qui on a bien expliqué cette fois-ci ce qu’il fallait faire, approuve avec une majorité écrasante le Traité Constitutionnel Européen, qu’on a rebaptisé Traité de Lisbonne pour faire plus sexy.
Au travers de ces quelques exemples, on voit bien qu'il aurait suffit à ces divers moments de notre histoire de faire preuve d’un peu d’imagination législative pour que la France soit encore le rayonnant Empire des temps passés. Nous aurions pu, si nos dirigeants avaient alors eu de l’audace, vivre aujourd’hui dans un pays où les clandestins travailleraient pour pas un rond, où les salariés sauraient que c’est la Crise et ne partiraient pas en vacances, un pays où les Français auraient plein d’enfants, où même le Président donnerait l’exemple en devant, personnellement, trouver pour chacun des siens un emploi, un pays doté d’une loi européenne qui remettrait légalement les Roumains Afghans à leur place...
Ce pays de rêve est encore possible : si le gouvernement prend l’habitude de faire re-voter tous les textes de loi qui lui déplaisent, nous pouvons y arriver. Et ainsi "Ensemble, tout devient alors possible".
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Conformément à la Loi "informatique et libertés" du 6 janvier 1978 modifiée (cf. CNIL), je bénéficie et dispose d'un droit d'accès, de rectifications, de modifications et de suppression des données et des informations me concernant.
Ce droit s'appliquant aussi à l'ensemble de mes contributions, interventions et commentaires sur les forums d'UniversImmo.com dont la société AEDèv SAS ne peut se prévaloir automatiquement de l'exclusivité des droits d'édition.
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Édité par - Luc Standon le 26 oct. 2009 21:15:20 |
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Ankou
Contributeur vétéran
1014 message(s)
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171
Posté - 26 oct. 2009 : 15:37:09
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Excellent
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Luc Standon
Contributeur vétéran
2549 message(s)
Statut:
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172
Posté - 26 oct. 2009 : 18:31:41
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poupix4
Contributeur senior
693 message(s)
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173
Posté - 26 oct. 2009 : 18:36:37
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Luc Standon
Contributeur vétéran
2549 message(s)
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174
Posté - 27 oct. 2009 : 15:14:58
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Citoyens X et Ménagères Lambda, si comme M. JF LAMOUR vous pensez avoir commis une erreur en glissant un mauvais bulletin, une fois dans l'isoloir, lors de vos précédents votes alors écrivez vite pour demander un re-vote :
L'Elyssée
Service Contentieux
55, Rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
HĂ´tel Matignon
Service Après-Ventes
57, Rue de Varenne
75007 Paris
Assemblée Nationale
Service Clientèle
126, Rue de l'Université
75007 Paris
Les Hot-lines payantes de ces administrations étant momentanément indisponibles.
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larocaille
Contributeur actif
395 message(s)
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175
Posté - 27 oct. 2009 : 23:40:17
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citation: Initialement posté par quelboulotVous ne pensez pas qu'il serait temps d'indiquer à l'auteur de ce fil que nous allons bientôt passer le cap de 2010 et que le titre du sujet fait "vieillot" comme le disait ma grand mère...
L'auteur de ce fil pense que même si le temps passe, le titre reste d'actualité car les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Les illustrations de Luc me plaisent car sur un sujet de fond il faut parfois maintenir habilement les liens le temps d'analyser les évolutions avant d'en développer les conséquences.
Du côté des évolutions de la situation politico-économique, ces dernières semaines ont été particulièrement fructueuses, à tel point qu'une "rechute" de la crise n'est pas à exclure...
Nous allons bientĂ´t revenir Ă des discussions plus "lourdes". |
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benoix
Contributeur actif
125 message(s)
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176
Posté - 18 nov. 2009 : 15:06:53
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citation: Initialement posté par larocaille
Nous allons bientĂ´t revenir Ă des discussions plus "lourdes".
Ce serait quand mĂŞme hyper bonnard que vous vous exprimassiez sans attendre ce moment, Larocaille.
Je me bidonne franchement en lisant Luc, mais je me culture plus en vous lisant, vous ĂŞtes plus succinct.
A quand la fin du monologue ?  et le début d'un vrai bouquin pour Luc ?  |
Édité par - benoix le 18 nov. 2009 15:08:59 |
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Posté - 25 nov. 2009 : 12:53:39
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Aujourdhui, la banque mondiale (kisésisouvantrompé) nous avertit:
citation: Le président de la Banque mondiale (BM), Robert Zoellick, met en garde contre le "danger" des bulles financières qui se forment en Asie et exhorte les Etats, et notamment ceux du G20, à agir avant qu'elles n'éclatent.
"Pour maintenir le crédit à flot, les banques centrales ont ouvert le robinet à liquidités (...) Et ça a marché", explique M. Zoellick, dans une tribune publiée mercredi dans le Financial Times. "Mais les gouvernements savaient que ces actions cruciales auraient des conséquences."
Selon lui, cet afflux de liquidités a notamment irrigué et dopé les marchés boursiers et immobiliers en Asie "où un nouveau risque émerge : les bulles financières".
Ces "bulles financières pourraient être de futures sources de faiblesses au moment où l'économie mondiale se redresse et pourraient de nouveau plonger des millions de personnes dans la pauvreté", juge-t-il.
Plus de deux ans après l'effondrement des crédits immoibiliers à risque américains ("subprime"), le patron de la BM exhorte les Etats à agir. "Attendre que les bulles (financières) éclatent pour ensuite en nettoyer les conséquences n'est pas une chose à faire", argumente-t-il.
M. Zoellick note que certains pays asiatiques ont pris des mesures pour freiner la spéculation, notamment en remontant les taux d'intérêt pour restreindre le flot de liquidités.
Dans les pays développés, "où les banques centrales veulent conserver des taux bas", les régulateurs devraient envisager "des mesures supplémentaires", en exigeant notamment le versement d'accomptes plus importants pour certaines transactions immobilières, selon lui. |
Édité par - ribouldingue le 25 nov. 2009 12:56:51 |
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Angie
Contributeur vétéran
1825 message(s)
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178
Posté - 27 nov. 2009 : 03:15:35
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Posté - 27 nov. 2009 : 20:29:13
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...qui sera en peau de croco...
A propos, vous avez vu, cette frousse que nous a fait a bourse hier pour le palntage en beauté de Dubai Incorporeted.
On parle de quoi? De quatre vingt malheureux millliards.
N'importe quoi.... |
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Ankou
Contributeur vétéran
1014 message(s)
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180
Posté - 27 nov. 2009 : 20:42:40
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citation: Initialement posté par ribouldingue
On parle de quoi? De quatre vingt malheureux millliards.
N'importe quoi....
..... quand on sait qu'une bonne moitié des actifs toxiques des banques est encore cachée dans leurs coffres
Et lĂ , on ne parle pas de 80 pĂ´vres coupures |
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