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Le titre est assez amusant, les commentaires sont ceux de Laforet , je le rappelle...
"Le marché immobilier peut-il repartir à la hausse en 2008 ? envoyer par mail | Version imprimable | Article au format PDF |
A l’attention des lecteurs : nous retranscrivons l’ici l’analyse du marché immobilier pour 2008 telle que transmise par le réseau Laforêt Immobilier.
En préambule à toute analyse sur l’évolution du marché, il faut rappeler le caractère saisonnier des transactions immobilières. En effet, le même appartement ne se vend pas au même prix en fonction des périodes de l’année. Il est donc très dangereux de tirer des conclusions hâtives au regard d’un indice mensuel voire trimestriel. Si l’on veut procéder à ce genre d’étude, l’indice doit être comparé à l’indice de la même période de l’année antérieure et non pas à l’indice du mois ou du trimestre précédent. Quand nous regardons l’évolution des prix sur les trois dernières années (2005, 2006, 2007) nous constatons une chute systématique des prix entre le troisième trimestre et le deuxième trimestre. Nous aurions donc dû, à la rentrée de septembre, crier chaque année à la baisse des prix.
Cette précaution prise, l’année 2007 se divise en deux semestres très distincts :
- le premier semestre voit le marché français enregistrer dans son ensemble un maintien des prix, voire une légère hausse. La demande reste soutenue par rapport à une offre toujours faible. Nous constatons que, pour une moyenne de 82 affaires à vendre dans une des agences du réseau Laforêt Immobilier, le fichier des acheteurs potentiels affiche environ 150 demandes. Les Français montrent encore une volonté très affirmée de devenir propriétaires. Afin d’alléger la charge de leur dette, certains ménages n’hésitent pas à allonger la durée de leur crédit. Toutefois, les acquéreurs s’engagent désormais dans une approche de négociation systématique portant au final sur 4 à 7% du montant du prix souhaité par le vendeur. C’est donc un marché d’échanges relativement sain, chaque partie acceptant de faire un bout du chemin pour que la transaction ait bien lieu. Phénomène nouveau pendant ce premier semestre, la France connaît pour la première fois depuis 5 ans l’apparition d’une multitude de micromarchés. Dans ce contexte, une moyenne nationale des prix revêt difficilement un sens. durée de la transaction. Nous sommes passés de 67 jours en moyenne en octobre-novembre 2006 à 75 jours en octobre-novembre 2007.
Une inquiétude des banquiers qui n’osent plus prendre de décisions
Un vent de « risque zéro » souffle sur les établissements bancaires. Cette période de prudence sera passagère. Les banques doivent purger entre elles leurs inquiétudes quant à leur financement. L’attentisme durera certes jusqu’à la fin de l’année.
La conséquence sur l’évolution des prix en 2008
Les mécanismes de l’immobilier sont simples, voire simplistes. La seule règle de base reste la loi de l’offre et de la demande. Les grandes villes françaises ont un déficit de produits à vendre. Leur prix devrait donc se maintenir en 2008. Paris connaîtra encore une hausse de 3 % car il s’agit d’un marché international, et par ailleurs le déséquilibre marqué entre l’offre et la demande persistera. Les marchés de report vers la périphérie vont continuer à progresser. En effet, le citadin qui fait l’effort d’être propriétaire à 40 kilomètres de son lieu de travail se trouve dans un marché sous-évalué par rapport à la grande ville. Ces demandes font donc naturellement monter les prix. Seront à la baisse les marchés sur-cotés, tels que la Côte d’Azur, ainsi que les marchés où pèse une réelle inquiétude sur l’emploi, par exemple les villes du Nord de la France ou la région de Toulouse.
Conclusion
Nous ne sommes pas aujourd’hui sur un marché global à la baisse, nous sommes sur un marché en stagnation. L’augmentation des prix au plan national sera donc proche du 0, car, malgré ces tensions, le niveau général demeurera tiré à la hausse par l’Ile-de-France. Nous pourrons néanmoins observer des baisses d’à-peu-près 5 % sur certains micro-marchés déterminés. 2008 sera donc caractérisée, d’une part, par un marché subissant une baisse des transactions due à des financements plus difficilement accordés par les banques et, d’autre part, par une France à ausculter au stéthoscope, car chaque marché régional possède son micro-marché, mêlant baisses et hausses des prix. "