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LeNabot
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ribouldingue
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11304 réponses |
 Posté - 16 août 2006 : 21:26:34
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Le Nabot, c'est en effet carrément la fin du monde.
Laissez moi au moins une semaine que je plantes des rutabagas....
Bon, sinon, les marchés immobiliers étant carrément décorrélés, je ne vois pas comment la baisse pourrait se propager telle un virus ainsi que le suggèrent vos différents fils, certes bien séparés, mais dont l'ensemble sous-entend la fin du monde.
La baisse probable a venir ne résultera que de hausse des taux d'intérêts.
Festina lente |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 16 août 2006 : 21:32:07
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Citation :
Initialement entré par ribouldingue
La baisse probable a venir ne résultera que de hausse des taux d'intérêts.
Festina lente
Sur ce point très précis des taux, l'Europe rattrape les Etats-Unis. |
Edité par - LeNabot le 16 août 2006 21:32:32 |
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bouzigues
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3208 réponses |
Posté - 16 août 2006 : 21:55:54
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A toutes et tous,
Notre système solaire comptera bientôt douze planètes et non neuf.
C'est en fait une question de définition.
Il en va tout également de l'immobilier.
Le marché relève de l'offre et de la demande, le papy boom pointant il sera difficile aux nouvelles générations d'escompter se loger lors des successions de plus en plus ultérieures.
En conséquence il y aura pénurie de logements, autrement dit il sera nécessaire de proposer des locations et des ventes; ainsi le marché immobilier s'il ne connaîtra pas de progression significative, au moins sera épargné d'une baisse brutale de son potentiel.
En clair la pierre sera toujours une niche appréciée de la constitution de patrimoine.
Ancien contributeur non pour autant émérite. |
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Ankou
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3265 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 07:43:54
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Citation :
Initialement entré par ribouldingue
Le Nabot, c'est en effet carrément la fin du monde.
Laissez moi au moins une semaine que je plantes des rutabagas....
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vttdechaine
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2262 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:07:51
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Citation :
Initialement entré par ribouldingue
Bon, sinon, les marchés immobiliers étant carrément décorrélés, je ne vois pas comment la baisse pourrait se propager telle un virus ainsi que le suggèrent vos différents fils, certes bien séparés, mais dont l'ensemble sous-entend la fin du monde.
Voir la partie statistique de l'ADEF.ORG et vous verrez que c'est corrélé comme marchés entre USA et France depuis une bonne trentaine d'années.
Marty |
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bibix
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1598 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:12:29
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Citation :
Initialement entré par ribouldingue
Le Nabot, c'est en effet carrément la fin du monde.
Laissez moi au moins une semaine que je plantes des rutabagas....
Bon, sinon, les marchés immobiliers étant carrément décorrélés, je ne vois pas comment la baisse pourrait se propager telle un virus ainsi que le suggèrent vos différents fils, certes bien séparés, mais dont l'ensemble sous-entend la fin du monde.
La baisse probable a venir ne résultera que de hausse des taux d'intérêts.
Festina lente
Attention tout de même, le rutabaga, au meme titre que les articles de LN, est laxatif. 
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Edité par - bibix le 17 août 2006 10:12:47 |
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ribouldingue
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11304 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:20:39
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Citation :
Voir la partie statistique de l'ADEF.ORG et vous verrez que c'est corrélé comme marchés entre USA et France depuis une bonne trentaine d'années
Si vous avez une référence plus précise, je suis intéressé. J'ai esayé d'y aller, sur le site, et je m'y perds.
Sinon je ne vois pas comment l'immobilier US pourrait être corrélé a l'immobilier français, alors que des villes comme Atlanta ou Cincinnati sont en pleines croissances, et que d'autres sont en plein décrépitude industrielle, que l'approche de l'achat immobilier aux US n'est absolument pas patrimoniale comem chez nous.
Que les taux d'intérêts soient connectés, comme le répond Le Nabot, cela ne fait aucun doute, mais pour le reste, je suis sceptique.
Festina lente |
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vttdechaine
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2262 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:25:06
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Citation :
Initialement entré par ribouldingue
Citation :
Voir la partie statistique de l'ADEF.ORG et vous verrez que c'est corrélé comme marchés entre USA et France depuis une bonne trentaine d'années
Si vous avez une référence plus précise, je suis intéressé. J'ai esayé d'y aller, sur le site, et je m'y perds.
Cliquer sur "statistiques" sur la page d'accueil puis dans les documents Word il y a un tableau montrant que les marchés français et américains sont corrélés.
Sinon je ne vois pas comment l'immobilier US pourrait être corrélé a l'immobilier français, alors que des villes comme Atlanta ou Cincinnati sont en pleines croissances,
Non non. C'est terminé. Voir le lien encore une fois que j'ai mis hier sur les chiffres de vente du marché ricain sur la file "revue de presse".
et que d'autres sont en plein décrépitude industrielle, que l'approche de l'achat immobilier aux US n'est absolument pas patrimoniale comem chez nous.
Peut-être. Mais les facultés d'achat et les difficultés restent les mêmes. Les phénomènes liés aux marchés haussiers et baissiers aussi.
Que les taux d'intérêts soient connectés, comme le répond Le Nabot, cela ne fait aucun doute, mais pour le reste, je suis sceptique.
Historiquement, ces marchés sont liés comme avec le marché anglais ou Espagnol.
Marty |
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bibix
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1598 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:26:08
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| Dès qu'un marché se casse la gueule, il est correlé avec le marché francais... |
Edité par - bibix le 17 août 2006 10:26:30 |
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vttdechaine
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2262 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:26:28
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Le boom immobilier ne dope plus les Etats-Unis
Après cinq ans de boom, plusieurs signaux montrent qu'il devient de plus en plus difficile de vendre une maison aux Etats-Unis. Du coup, l'effet richesse ne joue plus, ce qui pèse sur la consommation des ménages.
"Le marché tourne du côté des acheteurs". Comme d'autres observateurs, le président du groupement national des agents immobiliers (NAR) voit arriver le point d'inflexion du marché immobilier américain. Après cinq années de boom exceptionnelles, plusieurs signaux montrent qu'il devient de plus en plus difficile de vendre une maison aux Etats-Unis. Les ventes de logements neufs ont reculé de 3% en juin tandis que le département du Commerce a revu en baisse celles de mai. Entre juin 2005 et juin 2006, elles ont diminué de 11% et les analystes s'attendent à un repli équivalent sur l'ensemble de l'année 2006. Les stocks de maisons neuves n'ont jamais été aussi importants (566.000). Si les ventes se poursuivent au même rythme qu'en juin, il faudra presque sept mois pour l'écouler. Les trois-quarts des promoteurs, dont le moral est tombé au plus bas depuis 1991, sont désormais obligés de proposer des réductions, des piscines gratuites, voire des voyages pour attirer les acheteurs potentiels. Dans l'ancien aussi, qui représente environ les 7/8ème du marché, les transactions sont plus difficiles, avec huit baisses mensuelles sur les dix derniers mois. La diminution atteint 9% sur un an. Conséquence, "les prix commencent à se détériorer. Les vendeurs ont pris conscience qu'ils devaient fixer des prix plus compétitifs compte tenu de la hausse des stocks" souligne David Leareah, chef économiste de la NAR. Ils sont désormais nettement en dessous de l'inflation dans l'ancien (+0,9% sur un an) et tout juste au niveau dans le neuf (+2,3%).
Ce "ralentissement généralisé du secteur immobilier depuis le début du mois de juin", souligné dans le dernier Livre Beige de la banque centrale américaine va évidemment freiner sérieusement la croissance du pays. Cela a déjà commencé au deuxième trimestre. La nouvelle baisse de l'investissement immobilier (-6,3%) est la plus marquée depuis le 3ème trimestre 2000. Le prêt hypothécaire rechargeable, qui permet de réemprunter à la mesure de la valeur prise par le logement, a largement nourri la formidable consommation américaine depuis 2003. Après 17 relèvements de taux d'intérêt, les prêts ont commencé à décélerer. "Les sommes dégagées par le refinancement sont évaluées à 1000 milliards de dollars. Cela a ajouté 2% environ à la croissance chaque année par le biais de la consommation. C'est fini." estime David Kotok, un économiste américain. Or, comme l'a également signalé la Réserve fédérale américaine, d'autres signaux indiquent que la locomotive mondiale est en train de ralentir. Reste à savoir à quelle vitesse se fera le freinage.
Ingrid Vergara
Marty |
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vttdechaine
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2262 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 10:27:34
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Citation :
Initialement entré par bibix
Dès qu'un marché se casse la gueule, il est correlé avec le marché francais...
Avec les USA oui, cela a toujours été le cas.
Marty |
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bouzigues
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3208 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:14:33
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A toutes et tous,
Quand vous aurez compris qu'économistes ou pas les journalistes relèvent d'un abîme d'inéquité, de mensonges et de trahison comme avait su si bien l'écrire auparavant H. de Balzac.
Tous les commentaires sont basés sur des statistiques et nous savons que nous pouvons faire dire aux statistiques tout et son contraire.
C'est comme si l'on disait qu'à tel concours il ne sera pris que 100 candidats au lieu de 200.
Les 100 premiers seront tout de même pris.
Un bien immobilier qui est vendu à un prix honnête pour les deux parties, décélération ou pas se vendra. Et il ne faudra pas attendre des semaines, pas plus loin qu'à côté de chez nous la maison a eu le compromis de signé dans la semaine.
Certes les prétentions du fait d'une séparation étaient limitées mais tout de même la maison n'a pas été bradée. Elle a été vendu 20% du prix d'achat d'une mitoyenne un an seulement plus tôt.
Ancien contributeur non pour autant émérite. |
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vttdechaine
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2262 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:20:59
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Citation :
Initialement entré par bouzigues
Tous les commentaires sont basés sur des statistiques et nous savons que nous pouvons faire dire aux statistiques tout et son contraire.
Pourtant il est difficile d'affirmer qu'avec -7% de vente le secteur immo aux USA va bien.
Marty |
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mitjayo
Pilier de forums
315 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:23:16
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Certes une crise immobiliere est sur le point de s'installer aux usa et en espagne, mais j'ai cependant lu dans le figaro du lundi que l'immo est reparti à la hausse en angleterre...
Or on ne parle quasiment jamais de la situation immobilière en angleterre...qui elle continue à monter en fleche tant que les taux d'interets restent relativement bas malgré quelques relevements.
Alors baisse comme en espagne (ce qui est logique avec 85% de propriétaires, et donc investissement locatif peu rentable d'autant plus qu'ils construisent 800000 logements supp par an...)
ou nouvelle hausse en angleterre malgré la hausse des taux d'intérets ?
En France, on n'est pas plutot tombé dans une longue période d'expectative entre la hausse des taux d'interets, et la volonté des menages d'acheter ?
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:25:44
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Citation :
Initialement entré par mitjayo
Or on ne parle quasiment jamais de la situation immobilière en angleterre...qui elle continue à monter en fleche tant que les taux d'interets restent relativement bas malgré quelques relevements.
Pour atterrir.
Le Royaume Uni vu d'Espagne.
http://www.finanzas.com/id.9091001/noticias/noticia.htm
REINO UNIDO- El precio vivienda baja 1,2% en mayo frente a prev de +0,2%
LISBOA (AFX-España) - Los precios de la vivienda en Reino Unido cayeron de forma inesperada un 1,2% en junio respecto a mayo, según un estudio de la filial de Halifax HBOS.
ROYAUME UNI- Le prix du logement baisse de 1,2% en mai alors qu'une prévision donnait +0,2%.
LISBONNE (AFX-Espagne) - Les prix du logement au Royaume Uni ont chuté de manière inespérée de 1,2% en juin par rapport à mai, selon une étude de la filiale de Halifax HBOS.
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OncPicsou
Contributeur vétéran
108 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:27:52
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Bouzigues, ce qui exacerbe dans ces sujets qui se répètent, qui s'emboitent les uns les autres, ce n'est pas l'idée elle-même qu'il puisse y avoir un réajustement des prix.
Il y en a toujours eu.
Relisez les mémoires d'un bourgeois de Paris (livre écrit durant la guerre de 100 ans) et vous verrez comment et pourquoi l'immobilier a subi des fluctuations. Et c'est pareil, pour des raisons diverses et variées, à toutes les époques.
Non, l'énervement vient qu'il n'y a aucun raisonnement. Seulement une répetition "ad nausea" de coupures de presse, de on-dit, de courbes qui n'engagent que celui qui les a faites et celui qui y croit.
Vous répondez ici et on vous crée 2 autres sujets là. On vous dit que l'immobilier dégringole à Detroit et on oublie de vous parler de l'immobilier en forte hausse à Kansas City ou Colorado Springs.
On vous parle de l'Espagne, ce dont, soit dit en passant, tous les propiétaires fréquentant ce forum, se f...
On vous parle de la Gde Bretagne et, de toute évidence, on ignore totalement comment est régi le code de la copropriété dans ce pays.
Et surtout on ne répond pas à cette question essentielle : Pourquoi vous réjouissez-vous tant d'une hypothétique baisse de l'immobilier.
Car la question est là !
Pourquoi tant de jubilation ?
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Où que je tourne mon regard, tout ceci est à moi ! |
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OncPicsou
Contributeur vétéran
108 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:30:29
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Citation :
Initialement entré par LeNabot
LISBONNE (AFX-Espagne) - Les prix du logement au Royaume Uni ont chuté de manière inespérée de 1,2% en juin par rapport à mai, selon une étude de la filiale de Halifax HBOS.[/i]
Si maintenant on sort les analyses portugaises sur l'immobilier anglais ... c'est qu'on ne sait plus quoi dire.
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Où que je tourne mon regard, tout ceci est à moi ! |
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mitjayo
Pilier de forums
315 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:32:40
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oui mais il s'agit des stats de mai !
Il parait que justement les prix sont repartis à la hausse selon les articles pages saumons du figaro ! |
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florent1980
Pilier de forums
760 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:33:15
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Citation :
Initialement entré par LeNabot
ROYAUME UNI- Le prix du logement baisse de 1,2% en mai alors qu'une prévision donnait +0,2%.
Ca c'est ce qu'on appelle un poil de cul |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 17 août 2006 : 11:33:50
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Citation :
Initialement entré par mitjayo
oui mais il s'agit des stats de mai !
Non. De juin par rapport à mai. |
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ETATS-UNIS/UK : un marché au bord du précipice
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