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antonio05
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 Posté - 15 oct. 2014 : 17:41:37
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Bonsoir,
Je me présente je suis gardien à temps partiel à paris et employé d’immeuble.
Je suis inquiet de la nouvelle loi sur la sécurisation de l’emploi principalement sur le temps partiel.
Quel qu’un pourrait m’éclairer je vous en remercie par avance.
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zz top
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 Posté - 15 oct. 2014 : 21:42:24
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antonio05
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Posté - 15 oct. 2014 : 22:26:59
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Tout d’abord merci de m’avoir répondu.
Inquiet car comme de nombreux employée d’immeuble je n’atteins pas les 24 heures par semaine comme l’oblige la loi. Je me demande si cela n’encouragera pas les copropriétés à engager des sociétés de nettoyage,sachant que beaucoup de copropriétés de nécessite pas les 24 heures par semaine
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zz top
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Posté - 16 oct. 2014 : 14:40:43
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Alors, je te répondrais que, si tu es à 18, 20 ou 22H, leur intérêt sera de te passer au seuil minimal de 24H, parce que, quand on voit les coûts excessifs engendrés par une société de nettoyage à l'heure, par rapport au service rendu, si les copros sont intelligents, y auras pas photos, ils garderont l'employé d'immeuble sympas, qui leur file un coup de main, qui répond toujours oui, et qui ne râle jamais.
Maintenant, à toi, en tant qu'employé d'immeuble, de te battre pour te valoriser, en offrant tes services, ton volontarisme, et ta bonne volonté au service de ces mêmes copros, pour qu'ils n'aient pas envie d'aller voir ailleurs....
Notre métier est un sacerdoce...Nous sommes les prêtres de l'immobilier :) |
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| Quand on voit ce qu'on voit, quand on entend ce qu'on entend...On a raison de penser ce qu'on pense. |
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Posté - 16 oct. 2014 : 17:58:25
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citation: Notre métier est un sacerdoce...Nous sommes les prêtres de l'immobilier
a moins d'exercer en alsace, un sacerdoce vit des bonnes volontés et "sous" de ce qui le veulent ; or j'ai rarement entendu parler de concierges qui ne vivaient que des étrennes .... 
plus sérieusement, un éventuel passage de 20h (par ex) à 24h, suppose que l'AG modifie l'emploi, avant que le salarié en bénéficie... |
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antonio05
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Posté - 16 oct. 2014 : 20:22:57
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Ce que je ne comprends pas c’est comment vont faire les petites copropriétés très nombreuse à paris qui voudront embaucher mais qui n’accepteront pas de faire un contrat de 24 heures par semaine ce qui fait 96 heures par moi bien plus qu’il n’en faut. Pour les gardiens à temps partiel comment feront il puisque payé en uv et nom en heures. |
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antonio05
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Posté - 16 oct. 2014 : 20:34:16
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Louis92
Contributeur vétéran
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Posté - 17 oct. 2014 : 09:14:22
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Je fais partie des copropriétaires qui préfèrent un employé de la copropriété bien recruté à un employé d'une entreprise pour la qualité de service et le rapport qualité/prix.
Ce sujet devrait intéresser beaucoup de copropriétés : toutes celles qui ont besoin de 16 ou 20 ou 22 heures seulement d'employé et qui tiennent à rester son employeur.
Qui a des infos ?
Cdlt. Louis92. |
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antonio05
Nouveau Membre
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Posté - 17 oct. 2014 : 13:30:47
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Un accord a été trouvé entre les syndicats et le patronat pour déroger aux 24 heures. |
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mic
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Posté - 19 oct. 2014 : 18:11:09
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Des copropriétés qui préfèrent un gardien à une société de ménage, ça devient de plus en plus rare...Si la société ou un des employés ne donne pas satisfaction, on a un moyen d'action. Un gardien c'est peut-être mieux (pour certains) , mais pas moins cher, et on n'a pas droit à l'erreur lors du recrutement ! En général, tout le monde est d'accord pour remplacer un gardien non satisfaisant par un autre, mais personne ne veut payer le licenciement et les Prud'hommes. Une société de ménage bien suivie par le CS, c'est un gage d'impartialité.
On voit mal une copropriété accepter de payer plus d'heures juste pour garder l'employé...du moins en province.
Les gardiens peuvent en effet se faire du souci sur leur avenir. |
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jeanlamoure
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Posté - 08 déc. 2014 : 19:04:13
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Mic,
C'est surtout aux copros de se faire du souci quand il n'y aura plus de présence humaine sur place!!! |
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fripone
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 Posté - 09 déc. 2014 : 11:33:11
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GĂ©dehem
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Posté - 09 déc. 2014 : 16:44:04
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On touche ici du doigt l'inadaptation du Code du travail dans une Ă©conomie "moderne", y compris si l'on est soucieux avant tout de l'aspect humain des choses.
On n'en est plus à l'emploi de masse d'une main d'œuvre pas ou peu qualifiée comme on en a connu "dans le temps", type dans la sidérurgie, les mines, et autres activités industrielles à fort emploi de main d'œuvre alors sans protection.
Avec le contrat en CDI et la période d'essai d'un mois, l'employeur est pied et poing liés ... sauf "divorce amiable".
Pour effectuer les mêmes taches/UV qu'un employé, la Ste extérieure est globalement moins chère, d'un emploi bien plus souple si le syndicat n'est pas satisfait, le contrat annuel pouvant ne pas être reconduit.
Autrement dit, il y a là une concurrence qui n'est pas à l'avantage de l'employé.
Certains mettent en avant, à juste titre, l'aspect "humain" de la relation (*). Oubliant que celui-ci n'est pas rémunéré, et qu'il s'agirait alors "par les sourires et services rendus" d'une sorte de travail 'social' supplémentaire qui n'est pas contractualisé, qui n'entre pas dans la rémunération.
Le serait-il, cela nécessiterait l'affectation d'UV supplémentaires de quasi complaisance puisque ne correspondant pas à un travail réellement effectué (Il n'y a pas d'UV "sourires/services rendus"  ).
On veut d'un coté tout enfermer dans des clauses contractuelles bien ficelées 'au faux prétexte de la protection de l'employé et/ou de la défense des "avantages acquis"', de l'autre avoir de la souplesse pour laisser la place à l'initiative individuelle, à l'intelligence et aux "relations sociales".
Sauf que c'est incompatible avec le 'carcan' que représente notre Code du travail (**), pénalisant pour l'employeur, mais aussi (surtout ?) pour l'employé, dont on voit bien qu'au final c'est lui qui trinque : pas ou moins d'embauche, plus de licenciements.
Il ne faut pas chercher plus loin la suppression des postes de gardien-concierge.
(*) il existe aussi avec l'employé de l'entreprise, fidélisé, qui peut recevoir quelques "gratifications", sans parler des étrennes...
(**) on peut bien trouver ici ou là quelques concierges "modèles", bien logés pour pas cher, qui feront bien ou un peu plus que ce qu'ils "doivent" à l'employeur (le "social"). C'est parfait.
Sauf que ce ne sont que des cas ponctuels, alors que le Code du travail, comme la CCN, s'adresse Ă tous sans distinction de cas particuliers.
Sans parler de l'inadaptation de cette CCN "usine à gaz". En particulier pour la cat.B, qui fait référence aux articles L.771.1 et suivants du Code di travail s'agissant des employé "logés dans l'immeuble", alors que ceux-ci n'ont aucune obligation de cette sorte.
** Ajout ** |
Édité par - Gédehem le 10 déc. 2014 10:48:49 |
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loi securisation de l'emploi 
